Quelles sont les voitures hybrides vendues en France ? Quels sont leurs tarifs ? Quelle est leur consommation/autonomie ? Auto-Moto fait le point.Sandales Femmes En Sandales Basile Sandales Basile Basile Rose Rose Femmes En Femmes LUqMSVpzG
[Mis à jour le 05/04/2019 à 17h59] VOITURES HYBRIDES 2019 – En 2018, le marché de l’hybride pour les particuliers en France a bondi de 30,4% par rapport à l’exercice précédent en totalisant 106 366 unités contre 81 559 en 2017. Parmi elles, on dénombre 14 528 voitures hybrides rechargeables, contre 11 868 au cours de l’exercice précédent, ce qui représente une progression de 22,4%. En l’espace d’un an, la part de marché des véhicules hybrides est passée de 3,86% à 4,89%, incluant une plus timide évolution de 0,56% à 0,67% pour les hybrides rechargeables.
La technologie de l’hybride rechargeable est dominée par les constructeurs allemands. La majorité des modèles de ce type vendus au sein de l’Hexagone portent l’insigne de BMW, Mercedes, Porsche et Volkswagen. A noter qu’après l’entrée en vigueur du cycle WLTP, synonyme de nouvelles normes d’émissions, Audi a stoppé les ventes de l’A3 Sportback e-tron et du Q7 e-tron quattro.
Concernant l’hybride classique, les positionnements de gamme sont différents d’une marque à l’autre. Toyota et Lexus sont spécialisées sur la technologie à dérivation de puissance. L’hybride à architecture parallèle est présent sur des modèles Honda, Kia et Land Rover.
Pour y voir plus clair, Auto-Moto vous propose de découvrir en images les 42 modèles du marché de l’hybride en France, dont 23 sont rechargeables. Pour les découvrir, déplacez-vous sur le diaporama en haut de page.
Voiture hybride vs hybride rechargeable : quelles différences ?
Par définition, la voiture hybride combine des motorisations de nature différente, thermique d’un côté, électrique de l’autre. Le moteur thermique, essence ou Diesel, peut être associé à un ou plusieurs blocs électriques, situés sur le train avant et/ou sur le train arrière du véhicule.
Il faut ensuite distinguer le véhicule hybride classique du véhicule hybride rechargeable (VHR). La différence fondamentale entre les deux types d’hybridation réside dans la capacité de leur batterie et leur moyen de recharge. En sachant que la technologie hybride a recours à différentes architectures : parallèle, de série ou à dérivation de puissance.
Dans le cas d’une simple voiture hybride, la batterie présente une faible capacité avoisinant 1 kWh. Elle augure d’une autonomie électrique limitée à quelques kilomètres et une vitesse maximale d’utilisation tournant autour de 50 km/h. La batterie est rechargée grâce au moteur thermique et un éventuel dispositif de récupération d’énergie cinétique au freinage. Ce type d’hybridation est dédié à la conduite en ville.
A l’inverse, la voiture hybride rechargeable embarque une batterie de plus grande capacité, en mesure d’être rechargée par le biais d’une prise à la manière d’un véhicule électrique. Sa capacité oscillant généralement entre 8 et 12 kWh donne lieu à une autonomie électrique comprise entre 20 et 60 km pour une vitesse de pointe d’environ 120 ou 130 km/h. Le moteur thermique ne prend le relais que si cette vitesse est dépassée ou si la batterie est déchargée. Pour la recharger, il faut avoir recours à une prise domestique ou une borne de recharge comme pour une voiture électrique.
Voiture hybride d’occasion : laquelle choisir ?
Sandales Femmes En Sandales Basile Sandales Basile Basile Rose Rose Femmes En Femmes LUqMSVpzGEn plus des modèles neufs, Auto Moto vous propose de découvrir une sélection de 5 modèles d’occasion entre 10 000 et 15 000 euros dans le deuxième épisode de son podcast.
Pour écouter l’épisode, cliquez sur le bouton « lecture » du lecteur audio ci-dessus.
Voitures hybrides 2019 : quel bonus, comment ça marche ?
Comme l’an dernier, aucun bonus n’est dévolu aux véhicules hybrides et hybrides rechargeables en France au 1er janvier 2019. Pourtant, les constructeurs français avaient poussé en faveur d’un retour d’une aide financière pour les hybrides rechargeables.
Pour rappel, au 1er janvier 2017, le champ d’action du bonus sur l’hybridation s’était nettement réduit. Le coup de pouce financier de 750 euros attribué jusque-là aux hybrides rejetant de 61 à 110 g/km de CO2, et dont le moteur électrique présente une puissance sur 30 minutes supérieure ou égale à 10 KW, avait été tout bonnement supprimé. Un an plus tard, c’est le bonus de 1 000 euros dévolu aux hybrides rechargeables (21 à 60 g/km) hors Diesel qui avait été abandonné.
En revanche, un bonus découlant de la prime à la conversion est accordé pour l’acquisition d’un véhicule hybride rechargeable. Son montant peut atteindre jusqu’à 80 % du prix d’acquisition dans la limite de 5 000 euros pour un ménage non imposable et dans la limite de 2 500 euros pour un ménage imposable.
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La norme WLTP et les voitures hybrides
A noter : pour l’heure, les consommations et les émissions de CO2 indiquées pour les véhicules hybrides relèvent de la norme d’homologation NEDC (New European Driving Cycle), qui a pris fin le 1er septembre 2018. Il est remplacé par un nouveau cycle dit WLTP (Worldwide harmonized Light vehicles Test Procedure), plus proche des valeurs réelles. Les véhicules hybrides, notamment rechargeables, pourraient être particulièrement pénalisés. Les tests jusqu’ici pratiqués permettaient au véhicule de se mouvoir pendant un temps long en mode 100 % électrique, abaissant considérablement les chiffres par rapport à l’usage sur route.
Logiquement, les consommations et émissions de CO2 devraient donc s’envoler dans les prochains mois. Le projet de loi de finance 2019 laisse néanmoins entendre que la norme NEDC corrélée sera utilisée pour le calcul du bonus-malus et non le résultat du nouveau cycle WLTP. La période de transition sera néanmoins clôturée en 2020.
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